LE SYNDIC ET L’IMMEUBLE NEUF — Mise en route de la copropriété
• Savoir exécuter les opérations concrètes et particulières
au moment de la mise en service de l’immeuble livré neuf.
• Mettre en place les organes du syndicat et préparer
le premier budget prévisionnel et la réunion de la première AG
• Savoir gérer les relations avec le promoteur et les constructeurs
• Mettre en place les garanties de l’ouvrage
lieu : RENNES
DATE : 06/09/2022
horaires : 09H:00 À 18H:00
Public concerné : Gestionnaires de copropriété, assistants de copropriété, gestionnaires techniques et comptables de copropriété
Information complémentaire : ESSENTIELLE
Prérequis: aucun
Effectif maximum : 20
Tous les intervenants sont des professionnels / formateurs spécialisés en immobilier, validés par le Bureau de la Commission Formation de la FNAIM
I - LA NAISSANCE DE LA COPROPRIÉTÉ
- Les intervenants à l’acte de construire
• La notion de « réception »
- La vente d’un immeuble à construire
• La notion de « livraison »
- Les procédures constatant l’achèvement de l’immeuble
II - LA MISE EN ROUTE DE LA COPROPRIÉTÉ
- Le syndic provisoire
• La désignation du syndic provisoire
• Prise d’effet et fin du mandat du syndic provisoire
- Les missions du syndic provisoire
• L’établissement de la première liste des copropriétaires
• La tenue et l’arrêté des comptes de la période provisoire
• La préparation du budget prévisionnel du premier exercice
• La demande au promoteur des documents et clés à remettre
au syndic
- La réunion de la première AG
• Date et convocation de la première AG
- Ordre du jour de la première AG
- Règlement des appels de fonds
• lots transitoires
• cas particulier des lots non livrés
III - LA RESPONSABILITÉ LÉGALE
DES CONSTRUCTEURS ET LES ASSURANCES
OBLIGATOIRES
- La responsabilité légale des constructeurs et des promoteurs
• Les constructeurs d’ouvrage au sens de l’article 1792-1 CC
• L’ouvrage et sa composition
- Les dommages à l’ouvrage entraînant la responsabilité des
constructeurs
• Une responsabilité présumée : La cause étrangère,
motif d’exonération de responsabilité.
• Une responsabilité limitée dans le temps : dix ans.
• Les personnes devant qui les constructeurs sont
responsables
• Les autres garanties données au maître de l’ouvrage
• La garantie de parfait achèvement